La séance de coaching individuel : un lieu d’élaboration qui invite au meilleur déploiement possible
Comment un dirigeant peut-il « porter à leur terme toutes les possibilités de comportement qui le constituent » ?[1]
Peut-être en étant moins prisonnier des traditions et en présupposant d’une existence authentique au sein des systèmes. Mais également dans son souci des hommes et des choses en assumant une responsabilité de traduction des transformations organisationnelles, en portant le lien en tant que leader entre les choix stratégiques, les conduites et règles, et enfin la culture désirée.
Pour cela, nous préconisons une forme de coaching en présence à ce qui nous lie à l’autre qui invite un dirigeant à être au monde et s’ouvrir. Mais aussi une forme qui puisse l’appuyer dans sa décision de guider son environnement tout en s’y ajustant, comme un va-et-vient entre deux polarités. Préciser sa vision du monde en élargissant ses grilles de lecture de la croissance de l’organisation et des qualités personnelles qui sont attendues de lui, pour susciter la rencontre.
Le cabinet est pensé comme un seuil qui permet un franchissement, un sillon qui fait remonter le fond à la surface.
Un second lieu d’expérience possible est le haras au Nord de Rambouillet qui enrichit certaines séances de coaching par le contact subtil avec une autre espèce du vivant, le cheval. Ce dernier facilite une écoute d’un autre ordre, une proximité et une liberté de mouvement qui éclairent les possibilités futures et le potentiel relationnel.
